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9 août 2015

L’interview de Nikola Tesla cachée depuis 1899

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L’interview de Nikola Tesla cachée depuis 1899

 

Bonne lecture!

 

 

 

tesla

 

 

 

 

En 1899 Nikola Tesla a fait l’objet d’une interview qui a rarement été publiée au cours de ces 100 dernières années.

 

Dedans, Tesla ne met aucun coups de poing et révèle la grande conspiration de la science qui était déjà en marche, la suppression de l’éther (substance qui remplissait l’espace, et non pas de l’acide) et l’introduction d’une nouvelle fausse science afin de dissimuler les travaux de Tesla lui-même.

 

En 1899, Nikola Tesla a une fois été interviewé par un journaliste du nom de John Smith, où Tesla a dit « Tout est Lumière ». Dans l’un de ses rayons se trouve la destinée de toutes les nations. 

 

Chaque nation possédant un des rayons de la grande source lumineuse, que nous appelons le soleil.

Dans cette interview, le plus grand des créateurs des temps modernes présente une nouvelle vision dans laquelle l’humanité dont nous, les combattants de la lumière et de la dernière heure avons créée.

Une partie de cette interview est dédiée à la critique de la théorie de la relativité d’Einstein qui rejette l’éther comme énergie.

George, 7 mai 2015

 

John Smith: Mr. Tesla, vous avez acquis la notoriété de l’homme qui s’est impliqué dans les processus cosmiques. Qui êtes-vous, Mr. Tesla?

 

Tesla: C’est une bonne question, Mr. Smith et je vais essayer de vous donner la bonne réponse.

 

John Smith: Certains disent que vous venez de Croatie, de la région du nom de Lika, où parmi les gens, les arbres, les roches et le firmament se meuvent. Ils disent que le nom de votre village est celui des fleurs des montagne, et que la maison, où vous êtes nés, est à proximité de la forêt et de l’Eglise.

 

Tesla: Vraiment, tout est vrai. Je suis fier de mes origines Serbes et de ma Croatie natale.

 

John Smith: Les futuristes disent que le vingtième et vingt-et-unième siècle ont été incubés dans l’esprit de Nikola Tesla. Ils fêtent réciproquement le champs magnétique et chantent des hymnes pour les machines à induction. Leur créateur s’appelait le chasseur qui attrapait la lumière dans ses filets des profondeurs de la Terre et du guerrier qui a volé le feu des cieux. Le père du courant alternatif fera que la physique et la chimie domineront la moitié du monde. 

L’industrie le proclamera en tant que son Saint suprême, un banquier pour les plus grands bienfaiteurs.

 L’atome a été brisé pour la première fois dans le laboratoire de Nikola Tesla.

Il y créa une arme capable de provoquer des secousses sismiques. Il y découvrit les rayons cosmiques noirs. Cinq races prieront pour lui dans le Temple du futur, car elles apprendront le grand secret, que les éléments d’Empédocle peuvent être arrosés des forces vitales de l’Éther.

 

Tesla: Oui, ce sont là quelques unes de mes découvertes les plus importantes. Je suis un homme vaincu. Je n’ai pas accompli les grandes choses que j’aurais souhaitées. 

 

John Smith: Quelles sont-elles, Mr. Tesla?

 

Tesla: Je voulais éclairer la planète toute entière. 

 Il y a suffisamment d’électricité pour que l’on devienne un deuxième soleil. 

La lumière apparaîtrait tout autour de l’équateur, tel un anneau encerclant Saturne.

L’humanité n’est pas prête pour l’important et le bon. 

 

A Colorado Springs j’ai humidifié de la terre avec de l’électricité. 

 

Nous pouvons aussi alimenter les autres énergies, telle que l’énergie mentale. 

On les retrouve dans la musique de Bach ou de Mozart, ou dans les vers des grands poètes. 

A l’intérieur de la Terre, se trouve l’énergie de la joie, de la paix et de l’amour. 

Ses expressions sont telle une fleur qui pousse sur la terre, la nourriture que nous obtenons d’elle et toutes les choses qui contribuent au foyer de l’Homme. 

 

J’ai passé des années à chercher un moyen pour que cette énergie puisse influencer les gens. 

 

La beauté et le parfum des roses peuvent être utilisés comme médicament et les rayons du soleil comme nourriture.

 

La vie possède une infinité de formes et le devoir des scientifiques est de les trouver dans toutes les formes de la matière. Trois choses sont essentielles en ce sens. Tout ce que je fais c’est les chercher. Je sais que je ne les trouverais jamais, mais je ne les abandonnerais jamais.

 

John Smith: Quelles sont ces choses ?

 

Tesla: Un des problèmes est la nourriture. 

Quelle énergie terrestre ou stellaire pourrait nourrir les affamés sur Terre? 

 Avec quel vin faudrait-il étancher la soif des humbles, comme cela ils pourraient se réjouir dans leur cœur et comprendre qu’ils sont des Dieux?

 

Une autre chose est de détruire les pouvoirs du malin et de la souffrance par lesquels la vie d’un homme doit passer! 

Ils se manifestent parfois comme une épidémie dans les profondeurs de l’espace.

 En ce siècle, la maladie s’est propagée dans l’Univers depuis la Terre.

 

La troisième chose est: Y a-t-il un excès de lumière dans l’Univers? 

 

J’ai découvert une étoile qui pourrait disparaître selon les lois mathématiques et astronomiques, et rien ne semble changer. Cette étoile est dans la galaxie. Sa lumière peut être émise d’une telle densité qui rentrerait dans une sphère plus petite qu’une pomme, beaucoup plus lourde que dans notre système solaire. 

 

Les religions et philosophies enseignent que l’homme peut devenir le Christ, Bouddha ou Zoroastre. 

 

Ce que j’essaye de prouver est sauvage et presque inatteignable. 

 

C’est ce qu’il faut faire dans l’univers pour que chaque créature née soit Christ, Bouddha ou Zoroastre.

 

Je sais que la gravité est sujette à tout ce dont vous avez besoin pour voler et mon intention n’est pas de fabriquer des engins volants (avions ou missiles), mais d’entraîner l’individu à reprendre conscience de ses propres ailes … En outre; 

 

Je suis en train de réveiller l’énergie contenue dans l’air. 

Il y a les principales sources d’énergie. 

 

Ce qui est considéré comme un espace vide n’est autre qu’une manifestation de la matière qui ne s’est pas éveillée.

 

Il n’y a pas d’espace vide sur cette planète, tout comme dans l’univers… 

Dans les trous noirs, ce dont les astronomes parlent, se trouvent les sources vitales et énergétiques les plus puissantes.

 

John Smith: A la fenêtre de votre chambre d’hôtel “Valdorf-Astoria”, au trente-troisième étage, chaque matin, des oiseaux viennent.

 

Tesla: Un homme doit éprouver des sentiments envers les oiseaux. 

 

C’est à cause de leurs ailes. 

Les humains les avaient autrefois, les vraies et les visibles!

 

John Smith: Vous n’avez pas cessé de voler depuis ces vieux jours à Smiljan!

 

Tesla: Je voulais m’envoler depuis le toit et suis tombé: les calculs des enfants peuvent être faux. 

Rappelez-vous, les ailes de la jeunesse ont tout dans la vie!

 

John Smith: Vous-êtes vous déjà mariés? On ne sait pas si vous avez éprouvé de l’affection pour l’amour ou pour une femme. Les photos de votre jeunesses montrent que vous étiez un bel homme.

 

Tesla: Oui. 

Non je ne me suis pas marié. 

Il y a deux façons de voir les choses: beaucoup d’affection ou rien du tout. 

Pour certaines personnes, les femmes entretiennent et renforcent leur vitalité et essence. 

Être célibataire offre la même chose à d’autres. J’ai choisi le deuxième sentier.

 

John Smith: Vos admirateurs se plaignent que vous attaquez la relativité. Ce qui est étrange est votre affirmation que la matière n’a pas d’énergie. Tout est imprégné d’énergie, où est-elle?

 

Tesla: D’abord l’énergie, ensuite la matière.

 

John Smith: Mr. Tesla, c’est comme si vous disiez que vous étiez nés de votre père, et non de vous.

 

Tesla: Exactement! Qu’en est-il de la naissance de l’univers? La matière a été créée par l’énergie éternelle et originelle que nous appelons tous la Lumière. 

Elle éclaira, et apparurent des étoiles, les planètes, l’homme et tout ce qui est sur la Terre et dans le Cosmos.

La matière est l’expression d’une infinité de formes de la lumière, car l’énergie est plus vieille qu’elle. 

 

Il y a quatre lois de la Création.

 

 La première est que la source de tout cette intrigue sombre époustouflante que l’esprit ne peut pas concevoir, ou les mesures mathématiques. 

Dans cette intrigue tout l’univers peut être contenu.

 

La deuxième loi est la propagation de l’obscurité, qui est la véritable nature de la Lumière, de l’inexplicable jusqu’à sa transformation en lumière. 

 

La troisième loi est la nécessité de la Lumière à devenir de la matière composée de Lumière. 

 

La quatrième loi est: pas de début ni de fin; les trois lois précédentes sont perpétuellement actives et la Création est éternelle.

 

John Smith: Dans votre hostilité à la théorie de la relativité vous allez si loin, que vous tenez des conférences contre son créateur à vos fêtes d’anniversaire..

 

Tesla: Rappelez-vous que ce n’est pas l’espace qui est incurvé mais l’esprit humain qui ne peut pas comprendre l’infini et l’éternité! 

Si la relativité avait été clairement comprise par son Créateur, il pourrait obtenir l’immortalité, et cela même physiquement, s’il en a envie.

 

Je suis un morceau de la Lumière, et c’est la musique. 

 

La lumière comble mes six sens de perception: Je la voie, je la ressens, je la respire, je la sens, je la touche et je la pense.

 

 Penser à cela équivaut à mon sixième sens. 

Les particules de lumière sont des notes musicales. 

 

Sans éclair il peut y avoir une sonate toute entière. 

 

Avec mille éclairs on obtient un concert .. 

 

Pour ce concert j’ai créé une boule de foudre, qui peut être entendue jusqu’aux sommets gelés des montagnes de l’Himalaya. Quant à Pythagore et les mathématiques, un scientifique ne peut pas et ne doit pas porter atteinte à ces deux-là. 

 

Les nombres et les équations sont des signes qui marquent la musique des sphères. 

 

Si Einstein avait entendu ces sons, il n’aurait pas inventé les théories de la relativité. 

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Ces sons sont des messages de l’esprit que la vie a un sens, que l’Univers existe en parfaite harmonie, et sa beauté est la cause et les effets de la Création. 

 

Cette musique est le cycle éternel des cieux stellaires.

 

La plus petite des étoiles a fini sa composition et est aussi un morceau de la symphonie céleste. 

Les battements de cœur humain font aussi partis de cette symphonie sur Terre. 

Newton a appris que le secret reposait dans un arrangement et mouvement géométrique des corps célestes. 

Il reconnaissait que la loi suprême de l’harmonie existe dans l’Univers. 

L’espace incurvé n’est que chaos, et le chaos n’est pas de la musique. 

Einstein est le messager du temps, du son et de la fureur.

 

John Smith: Mr. Tesla, entendez-vous cette musique?

 

Tesla: Je l’entends tout le temps. 

Mon oreille spirituelle est aussi vaste que la voûte que nous voyons au dessus de nous. 

Mon oreille naturelle je l’ai améliorée avec le radar. 

D’après la Théorie de la Relativité, deux lignes parallèles se rencontreront dans l’infini.

 De ce fait l’incurvation d’Einstein se redressera. 

Une fois que c’est fait, le son perdura pour l’éternité. 

Car pour un homme il peut disparaître, mais il continuera d’exister dans le silence qui est le plus grand pouvoir de l’être humain.

 

Non je n’ai rien contre Mr. Einstein.

 

 C’est une bonne personne et qui a fait plein de bonnes choses, dont certaines se mêleront à cette mélodie. 

 

Je lui écrirai une lettre et j’essaierai de lui expliquer que l’éther existe, et que ces particules font que l’univers est en parfaite harmonie, et que la vie est éternelle.

 

John Smith: S’il vous plait, dites moi, quelles sont les conditions qu’un ange (doit) adopter sur Terre?

 

 -MBW-

 

Tesla: J’en ai dix d’entre elles. 

 

Prenez bien soin de les noter.

 

John Smith: Je rendrai compte de tous vos mots, cher Mr. Tesla.

 

Tesla: La première condition est d’être très conscient de sa mission et du travail à accomplir. 

Elle doit exister durant les premiers jours, quand bien même elle est faible. 

Ne soyons pas faussement modeste; Un chêne sait qu’il est chêne, un buisson étant un buisson à ses côtés. 

Quand je n’avais que douze ans, j’étais persuadé que j’allais un jour me rendre aux chutes du Niagara. 

Car je savais déjà dans ma tendre enfance que j’allais accomplir la plupart de mes découvertes, bien que çà n’était pas totalement clair … La deuxième condition d’adaptation est la détermination. 

 

Tout ce que je suis capable de faire, je le termine.

 

John Smith: Quelle est la troisième condition de l’ajustement, Mr. Tesla?

 

Tesla: Une ligne directrice pour toutes les énergies vitales et spirituelles dans le labeur. 

Donc la purification de tous les effets et besoins que l’homme a. 

 

Je n’ai donc rien perdu et tout gagné.

 

Ainsi

 j’ai apprécié tous les jours et toutes les nuits. 

 

Ecrivez ceci: Nikola Tesla était un homme heureux… 

 

La quatrième condition est de s’ajuster à l’assemblage physique en travaillant.

 

John Smith: Que voulez-vous dire par là, Mr. Tesla?

 

Tesla: D’abord, la maintenance de l’assemblage. 

 

Le corps humain est une machine parfaite. 

 

Je connais mes circuits et ce qui est bon pour eux. 

 

La nourriture que pratiquement tout le monde mange, est dangereuse et nocive pour moi. 

Parfois je visualise les chefs du monde en train de comploter contre moi … Touchez ma main.

 

John Smith: Elle était froide.

 

Tesla: Oui, la circulation du sang peut être contrôlée, tout comme beaucoup de processus en nous et en dehors. 

 

De quoi avez-vous peur jeune homme?

 

John Smith: C’est l’histoire que Mark Twain a écrit en rapport à un mystérieux personnage, ce merveilleux livre de Satan, inspiré par vous.

 

Tesla: Le mot « Lucifer » est plus attrayant. 

 

Mr. Twain aime faire des blagues. Quand j’étais un enfant j’ai une fois été guéri en lisant ses livres. 

Quand nous nous sommes rencontrés ici et que je lui ai révélé cela, il était si ému qu’il s’est mis à pleurer. 

Nous sommes devenus de bons amis et il venait souvent me voir au laboratoire. 

Une fois il m’a demandé que je lui montre une machine dont la seule vibration provoquait une sensation de béatitude. 

 

C’était l’une de mes inventions à vocation divertissante, ce que j’aime parfois faire.

 

J’ai alerté Mr. Twain de ne pas tenir bon à ces vibrations. Il ne m’a pas écouté et est resté bloqué dessus très longtemps. Ça s’est terminé par lui, telle une fusée, tout en tenant son pantalon par la ceinture, se ruant vers une pièce en particulier. C’était diaboliquement amusant, mais je suis resté sérieux tout le long.

Mais, pour ajuster les circuits physiques, en plus de la nourriture, les rêves sont très importants. Après un travail long et épuisant, qui demandait des efforts surhumains, en l’espace d’une heure j’étais complètement régénéré. 

 

J’ai obtenu la capacité de contrôler mon sommeil, de m’endormir et de me réveiller à l’heure que j’avais décidée. 

 

Quand je tombe sur quelque chose que je ne comprends pas, je me force à réfléchir à cela dans un rêve, et ainsi je trouve la solution.

 

Tesla: La cinquième condition est l’organisation de la mémoire.

 

 Peut être que chez la plupart des gens, le cerveau est le gardien du savoir sur le monde et de la connaissance acquise tout au long d’une vie. 

 

Mon cerveau s’est engagé dans des choses bien plus importantes que simplement se remémorer des choses, il choisit ce qui est nécessaire à un moment donné. 

 

C’est tout autour de nous. 

 

La mémoire devrait juste être consommée. 

Tout ce que nous avons vu, entendu, lu et appris nous accompagne sous la forme de particules de lumière. A mes yeux, ces particules sont obéissantes et fidèles.

 

Faust de Goethe, mon livre préféré, que j’avais appris par coeur en Allemand alors que je n’étais encore qu’un étudiant, je suis capable de désormais tout réciter. 

Je détenais toutes mes inventions dans ma « tête », et seulement après, je les ai réalisées.

 

John Smith: Vous citez assez souvent le pouvoir de visualisation.

 

Tesla: Je dois remercier la visualisation pour tout ce que j’ai inventé. 

Les événements de ma vie et mes inventions sont réels à mes yeux, visibles comme n’importe quoi d’autre. 

 

Quand j’étais jeune j’étais terrifié de ne pas savoir ce que c’était, mais plus tard, j’ai appris à utiliser ce pouvoir en tant que talent et cadeau exceptionnel. 

Je l’ai entretenu, et jalousement préservé. 

J’ai aussi corrigé la plupart de mes inventions simplement en les visualisant, et les ai terminées de cette façon là. En visualisant mentalement je résous des équations mathématiques très complexes.

 

Ma vision et mon ouïe sont parfaites, et j’ose le dire, plus puissantes que chez la plupart des gens. 

J’entends la foudre à cinquante kilomètres de chez moi, et je vois des couleurs dans le ciel que les gens ne peuvent pas voir. 

Cette expansion de la vue et de l’audition, je l’avais quand j’étais petit. Plus tard j’ai consciemment développé mes capacités.

 

John Smith: Etant jeune vous étiez plusieurs fois tombés sérieusement malade. Est-ce une maladie et une condition pour s’adapter?

 

Tesla: Oui. C’est souvent le résultat d’un manque d’épuisement ou de force vitale, mais souvent la purification de l’esprit et du corps des toxines qu’ils ont accumulées. Il est nécessaire qu’un homme souffre de temps à autre.

 

 La source de la plupart des maladies est dans l’esprit. 

 

Donc l’esprit peut guérir la plupart des maladies. 

Quand j’étais un étudiant j’avais attrapé le choléra qui faisait rage dans la région de Lika. J’ai guéri car mon père m’avait finalement autorisé à étudier la technologie, qui était toute ma vie. 

 

L’illusion n’était pas une maladie pour moi, mais la capacité de l’esprit à pénétrer au delà des trois dimensions terrestres.

 

Mes illusions m’ont suivi tout au long de ma vie, et je les avais reçues à partir d’autres phénomènes autour de moi. Une fois, alors que j’étais un enfant, je marchais le long de la rivière avec mon oncle et j’ai dit: « De l’eau apparaîtra la truite, je lancerais une pierre et elle se montrera. » C’est ce qu’il s’est passé. Effrayé et impressionné, mon oncle cria: « Vade Retro Satanas! » C’était un homme éduqué qui parlait le latin…

 

J’étais à Paris quand j’ai vu la mort de ma mère. 

Dans le ciel, rempli de lumière et de musique flottaient de merveilleuses créatures. 

 

 L’une d’elles possédait le caractère de ma mère, qui m’observait avec une tendresse infinie. 

 

Tandis que la vision s’estompait, je savais que ma mère était morte.

 

John smith: Quelle est la septième condition, Mr. Tesla?

 

Tesla: La connaissance de la façon dont les énergies mentales et vitales se transforment en ce que nous désirons et provoquent un contrôle total de nos sentiments. 

 

Les hindous appellent cela le Yoga Kundalini. 

 

Cette connaissance peut être apprise, car il faut plusieurs années pour l’acquérir ou bien l’obtenir à la naissance. 

J’ai obtenu la majorité de ces connaissances à la naissance.

 Elles sont étroitement connectées à l’énergie sexuelle qui va à la poursuite de ce qui est le plus répandu dans l’univers. 

 

La femme est la plus grosse voleuse de cette énergie, et (représente) ainsi le pouvoir spirituel.

 

Je l’ai toujours su et j’étais toujours en alerte. De moi-même j’ai créé ce que je voulais: 

Une machine spirituelle capable de raisonnement.

 

John Smith: Une neuvième condition, Mr. Tesla?

 

Tesla: Faites tout ce qui est possible à n’importe quel moment, n’importe quel jour, si possible, n’oubliez pas qui vous êtes et pourquoi vous êtes sur Terre. 

 

Des gens extraordinaires qui luttent contre la maladie, la privation ou la société qui les blesse du à sa stupidité, incompréhension, persécution et d’autres problèmes. 

 

Il y a beaucoup d’anges déchus sur Terre.

 

John Smith: Quelle est la dixième condition?

 

Tesla: C’est la plus importante de toutes.

 Ecrivez ceci, Mr. Tesla a joué. 

 

Il a joué toute sa vie et s’est beaucoup amusé.

 

John Smith: Mr. Tesla! Concernant vos découvertes et vos travaux, est-ce un jeu?

 

Tesla: Oui mon garçon. Je me suis tellement amusé à jouer avec l’électricité! J’ai les poils qui se hérissent quand j’entends parler du Grec qui a volé le feu divin. 

Une terrible histoire… Avec des aigles qui picorent son foie. 

Zeus n’avait-il pas suffisamment de foudre et de tonnerre, qu’il fut atteint par une seule ferveur? Il y a des choses qui ne sont pas claires…

 

Les éclairs sont les jouets les plus merveilleux que l’on puisse trouver. 

N’oubliez pas de dire dans votre compte rendu que :  

 

Nikola Tesla a été le premier homme à avoir découvert la foudre.

 

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John Smith: Mr. Tesla, vous ne faites que parler des anges et de leur adaptation sur Terre.

 

Tesla: Est-ce le cas? C’est du pareil au même. 

 

Vous pourriez écrire ceci : il a osé prendre sur lui les prérogatives de Indri, Zeus et Peron. 

 

Imaginez un de ces dieux enfiler un smoking, et porter un chapeau melon noir en portant des gants blancs en train de concocter des éclairs, des incendies et des tremblements de terre pour l’élite de New York City!

 

John Smith: Les lecteurs apprécient l’humour de notre magasine. Mais vous m’avez perdu alors que vous dites que vos découvertes, qui ont apporté tellement de bienfaits aux gens, ne représentent qu’un jeu. Beaucoup d’entre eux fronceront les sourcils.

 

Tesla: Cher Mr. Smith, le problème c’est que les gens sont trop sérieux. S’ils n’étaient pas autant sérieux, ils seraient beaucoup plus heureux et vivraient plus longtemps. 

Un proverbe Chinois dit que être trop sérieux réduit l’espérance de vie. 

Revenez donc aux choses que les lecteurs considèrent être importantes.

 

John Smith: Ils aimeraient entendre ce qu’est votre philosophie. 

 

Tesla: La vie est un rythme qui doit être compris. Je sens le rythme et je le dorlote. Il était très redevable et m’a donné la connaissance que je possède. 

Tout ce qui vit est lié à une relation profonde et merveilleuse : l’homme et les étoiles, le cœur et la circulation d’un nombre infini de mondes. 

Ces liens sont invulnérables, mais ils peuvent être apprivoisés pour créer différentes relations que nous entretenons avec le monde, et qui ne violent pas les règles de l’ancien.

 

La connaissance vient de l’espace; notre vision est sa version la plus parfaite.

 

 Nous avons deux yeux: le matériel et le spirituel. 

 

Il est recommandé que n’en ayons qu’un seul.

 L’univers est vivant dans toutes ses manifestations, comme un animal intellectuel.

Les pierres sont des êtres pensants et sensibles, comme les plantes, animaux et l’homme. 

Une étoile qui brille ne demande qu’à être observée, et si nous n’étions pas trop imbus de notre personne, nous comprendrions son langage et son message. 

 

La respiration, les yeux et les oreilles de l’Homme doivent être en accord avec la respiration, les yeux et les oreilles de l’univers.

 

John Smith: Quand vous dites cela, j’ai l’impression d’entendre une citation d’un des textes Bouddhistes ou Taoïstes.

 

Tesla: C’est exact! Cela veut dire qu’il y a un savoir général et une vérité que l’homme a toujours possédés. 

D’après mon expérience et mes sentiments, l’univers n’a qu’une seule substance et une seule énergie suprême avec un nombre infini de manifestations vivantes. 

Ce qui est génial c’est que la découverte d’une nature secrète, révèle l’autre.

Personne ne peut les cacher, elles sont partout autour de nous, mais sommes aveugles et sourds quant à elles. 

Si nous nous lions émotionnellement à elles, elles nous intègrent. 

Il y a plein de pommes, mais un seul Newton. Il désirait tout simplement qu’une pomme tombe devant lui.

 

John Smith: Une question qui aurait pu être posée au tout début de cette conversation. Qu’est-ce que l’électricité pour vous, cher Mr. Tesla?

 

Tesla: Tout est Electricité. 

D’abord vint la lumière, une source sans fin à partir de laquelle provient les matériaux et qui est distribuée dans toutes les formes qui représentent l’univers et la Terre dans tous les aspects de la vie.

 

 Le noir est le véritable visage de la Lumière, mais nous ne le voyons pas. 

 

C’est une grâce remarquable pour l’homme et les autres créatures. L’une de ses particules possède l’énergie lumineuse, thermique, nucléaire, chimique, mécanique et une autre non identifiée.

 

Elle a le pouvoir de déplacer la Terre sur son orbite. C’est un véritable levier d’Archimède.

 

John Smith: Mr. Tesla, vous êtes trop partial quant à l’électricité.

 

Tesla: Electricité je suis. Ou, si vous préférez, je suis l’électricité dans une forme humaine. Vous aussi, Mr. Smith, êtes de l’électricité, mais vous ne l’avez pas réalisé.

 

John Smith: Est-ce donc là votre capacité à permettre à un million de volts de circuler dans votre corps ?

 

Tesla: Imaginez un jardinier qui se fait attaquer par des herbes. Ca serait complètement fou. Le corps humain et son cerveau sont capables de contenir une quantité incroyable d’énergie: en moi se trouve la majorité de l’électricité. 

 

L’énergie qui est différente chez tout le monde est ce qui fait de nous le « Je » humain ou « l’âme ». 

 

Pour l’essence des autres créatures, « l’âme » d’une plante est « l’âme » d’un minéral ou d’un animal.

 

Les fonctions cérébrales et la mort se manifestent par la lumière. Mes yeux étaient noirs quand j’étais jeune, et maintenant ils sont bleus, et alors que le temps passe et que le cerveau se renforce, ils sont proches de devenir blancs. 

 

Le Blanc est la couleur du paradis. 

 

Une fois, une colombe blanche s’est posée sur le rebord de ma fenêtre dans ma chambre d’hôtel et je lui ai donné à mangé. 

Elle voulait me faire signe qu’elle était en fin de vie.

 Dans ces yeux je pouvais voir les jets de lumière se propager hors de son corps. 

Jamais à mes yeux je n’avais vu une créature posséder autant de lumière que chez cette colombe.

 

John Smith: Le personnel dans votre laboratoire témoigne de flash lumineux, de flammes et d’éclairs qui se manifestent sporadiquement quand vous êtes énervés ou quand vous vous exposez à des risques.

 

Tesla: C’est une décharge psychique ou bien une alerte qu’il faut être vigilant. 

La lumière a toujours été de mon côté. 

Savez-vous comment j’ai découvert le champs magnétique rotatif et la machine à induction, qui sont par la suite devenus célèbre alors que je n’avais que vingt six ans? Un soir en été, à Budapest, j’observais le couché de soleil avec mon ami Sigetijem.

Des milliers de flammes aux couleurs flamboyantes tournaient autour du soleil. Je me suis rappelé de Faust et j’ai récité ses vers et ensuite, comme dans le brouillard, j’ai vu le champs magnétique solaire qui effectuait une rotation, j’ai aussi vu la machine à induction. Tout ça en regardant le soleil !

 

John Smith: Le service de l’hôtel a dit qu’à certains moments quand il ya de l’orage, vous vous isolez dans votre pièce et parlez tout seul à vous-même.

 

Tesla: Je parle aux éclairs et au tonnerre.

 

 

John Smith: Avec eux? Dans quel langage, Mr. Tesla?

 

Tesla: Principalement dans ma langue natale. 

Elle possède plein de mots et de sons, spécialement en poésie, qui vont bien avec.

John Smith: Les lecteurs de notre magasine vous seraient redevables si vous voudriez bien interpréter cela.

 

Tesla: Le son n’existe pas uniquement par les éclairs et la foudre, mais, aussi en se transformant en couleurs chatoyantes. Une couleur peut être entendue. 

 

Le langage provient de mots, ce qui veut dire qu’il provient des sons et des couleurs. 

 

Tous les éclairs sont différents et ont différents noms. Je les appelle parfois en empruntant les noms de ceux qui étaient proches de moi, ou de ceux que j’admire.

 

Dans le ciel et la foudre vivent mes parents, ma mère, ma sœur, mon frère Daniel, et le poète Jovan Jovanovic Zmaj et d’autres personnalités de l’histoire Serbe. 

 

Des noms tels qu’Isaïe, Ezekiel, Léonard, Beethoven, Goya, Faraday, Pushkin…

 

Il y a des éclairs de génies, qui sont les plus brillants et les plus puissants, mais qui disparaissent aussi vite qu’ils sont venus. 

 

Ils viennent et partent, et je les reconnaîtrais parmi des milliers.

 

John Smith: Pour vous, la science et la poésie sont la même chose?

 

Tesla: Elles représentent les deux yeux d’une même personne. 

William Blake a appris que l’univers était né de l’imagination, qu’elle maintient et qu’elle existera aussi longtemps qu’il y aura un dernier humain sur Terre. 

Avec elle réside une roue par laquelle les astronomes peuvent collectionner les étoiles de toutes les galaxies. 

 

C’est l’énergie créative identique à l’énergie lumineuse.

 

John Smith: L’imagination est plus réelle pour vous que la vie même?

 

Tesla: Elle donne naissance à la vie. 

 

Elle a nourri mes pensées; J’ai appris à contrôler mes émotions, rêves et visions. 

Je les ai toujours aimées, tandis que j’entretenais mon enthousiasme. 

J’ai passé ma vie entière en extase. C’était la source de mon bonheur. Elle m’aida tout au long de mon parcours afin que j’accomplisse mes travaux. 

Travailler la nuit est préférable, du fait de la lumière stellaire, et du lien rapproché.

 

John Smith: Vous dites que ‘Je suis, comme tous les autres, la Lumière’. Cela me flatte, mais je dois vous l’avouer, je ne comprends pas trop où vous voulez en venir.

 

Tesla: Pourquoi auriez-vous besoin de le comprendre, Mr. Smith? Il suffit juste d’y croire. 

 

Tout est lumière. 

 

Dans un de ses rayons se trouve la destinée des nations, et chaque nation possède ses propres rayons de lumières de la grande source que nous appelons le soleil. 

Et rappelez-vous: personne qui était ici n’est jamais mort. 

Ils se sont transformés en lumière, et de ce fait continuent encore d’exister. 

Le secret réside dans le fait que les particules de lumière restaurent notre état originel.

 

John smith: C’est la résurrection !

 

Tesla: Je préfère appeler cela: un retour à l’énergie précédente. Le Christ et d’autres connaissaient le secret. 

Je cherche un moyen de préserver les énergies humaines. 

C’est une forme de lumière, parfois droite comme la lumière des cieux. 

Je n’ai pas cherché tout cela pour mon propre plaisir, mais pour le bien-être de tout ce qui existe. Je crois que mes découvertes feront que les gens vivront plus facilement, et qu’ils s’intéresseront à la spiritualité et la moralité.

 

John Smith: Pensez-vous que l’on puisse abolir le temps?

 

Tesla: Pas vraiment, car l’une des caractéristiques de l’énergie est qu’elle se transforme. Elle se transforme perpétuellement, comme les nuages des Taoïstes. Mais il est possible de tirer parti du fait que l’homme conserve sa conscience après une vie terrestre. 

Dans tous les recoins de l’univers se trouvent les énergies de la vie; l’une d’elles est l’immortalité, dont l’origine est au delà de la compréhension humaine, et qui l’attend.

 

L’univers est spirituel: Nous ne sommes qu’à mi chemin. 

L’univers est bien plus moral que nous, car nous ne connaissons pas sa nature et comment être en harmonie dans nos vies à la lumière d’un tel concept.

 Je ne suis pas un scientifique, la science est peut être la seule façon de découvrir des moyens de répondre à ces questions qui m’ont toujours hantées, et qui font que mes jours et nuits ne sont que torrent de feu.

 

John Smith: Quel est le problème?

 

Tesla: Ce que je voulais savoir c’était: que se passe t-il une fois qu’une étoile telle que notre soleil s’éteint? 

Les étoiles disparaissent en laissant graines et poussières derrière elles, que ça soit dans notre monde ou dans l’autre, alors que le soleil s’éparpille dans nos esprits, et cela dans la vie de plusieurs êtres vivants, cela fait naître une nouvelle lumière, ou à un vent cosmique disséminé partout dans l’infini. 

Je comprends que cela est nécessairement incorporé dans la structure de l’univers. 

La chose c’est que, l’une de ces étoiles ou l’un de ces soleils, bien qu’il soit le plus petit, préserve tout le reste.

 

John Smith: Mais, Mr. Tesla, vous réalisez que cela est nécessaire et fait partie de la constitution du monde!

 

Tesla: Quand un homme se blesse à la tête; son objectif le plus cher est de courir après une étoile filante, et d’essayer de la capturer; s’il comprend que sa vie lui fut donnée à cet effet il aura la vie sauve. On pourra éventuellement un jour attraper des étoiles!

 

John Smith: Et que se passera-t-il ensuite?

 

Tesla: Le créateur rigolera et dira: « Elle tombe uniquement parce que tu lui cours après et que tu veux l’attraper. »

 

John Smith: Cela n’est-il pas contraire à la douleur cosmique, que vous mentionnez si fréquemment dans vos ouvrages? 

 Qu’est-ce que la douleur cosmique?

 

Tesla: Non, car nous sommes sur Terre… C’est une maladie dont l’existence n’est pas reconnue par la vaste majorité des gens. 

 

Par conséquent, de nombreuses maladies, la souffrance, le mal, la misère, les guerres et tout le reste font que la vie humaine est dans une condition absurde et horrible. 

 

Cette maladie ne sera jamais totalement guérie, mais la conscience doit la rendre moins compliquée et dangereuse. 

 

A chaque fois que l’un de mes proches se blessait j’éprouvais de la douleur physique. 

Ceci étant parce que nos corps sont faits d’un matériau similaire, et nos âmes sont liée par des ficelles incassables. 

 

Une tristesse incompréhensible qui nous accablait parfois, signifiait que quelque part, de l’autre côté de la planète, un enfant ou un homme bon est mort.

 

L’univers tout entier tombe parfois malade, et nous avec. 

 

La disparition d’une étoile et l’apparence des comètes nous affectent bien plus que nous l’imaginons. 

 

Les relations entre créatures sur Terre sont plus fortes, du fait de nos pensées et sentiments la fleur obtiendra une odeur plus merveilleuse ou tombera dans le silence.

 

Nous devons apprendre ces vérités en vu de guérir.

 

 Le remède est dans nos cœurs, et aussi dans le cœur de l’animal que nous appelons l’univers.

 

 

Source: PlanetXNews, le 18 mai 2015

 

 

 

Naissance de Nikola TESLA 10/07/1856

Nikola TESLA

En cette date anniversaire de la naissance de Nikola TESLA, nous mettons à votre disposition une traduction d’un texte publié en 1901 des plus intéressant.

Collier’s Weekly, 9 février 1901, pages 4-5 :

DISCUTIONS AVEC LES PLANÈTES – par Nikola Tesla

Talking with the planets

L’idée de communiquer avec les habitants d’autres mondes est une idée ancienne. Mais pendant des siècles il a été considéré simplement comme un rêve de poète, jamais réalisable. Avec l’invention et la perfection du télescope qui a permis la connaissance sans cesse grandissant des cieux, son emprise sur notre imagination a été augmentée, et les réalisations scientifiques au cours de la dernière partie du XIXe siècle, avec le développement de la tendance à la nature idéale de Goethe, se sont intensifiées à un degré tel qu’elle semble destinée à devenir l’idée dominante du siècle qui vient de commencer. Le désir de connaître quelque chose de nos voisins dans les immenses profondeurs de l’espace ne provient pas de curiosité, ni de la soif de la connaissance, mais d’une cause plus profonde, et c’est un sentiment bien ancré dans le cœur de chaque être humain capable de penser. D’où vient-il ? Qui sait ? Qui peut assigner des limites à la subtilité des influences de la nature ? Peut-être, si nous pouvions clairement percevoir tout le mécanisme complexe de ce spectacle grandiose qui se déroule continuellement devant nous, et pouvions également tracer ce désir à son origine lointaine, nous pourrions le découvrir dans les tristes vibrations de la terre qui ont commencées quand elle s’est séparée de son parent céleste.

Tesla readingMais dans cet âge de raison, il n’est pas étonnant de trouver des personnes qui se moquent de l’idée même de communication avec une autre planète. Tout d’abord, l’argument avancé est qu’il y a seulement une faible probabilité que d’autres planètes puissent être habitées. Cet argument ne m’a jamais séduit. Dans le système solaire, il semble y avoir seulement deux planètes – Vénus et Mars – capables de soutenir la vie comme la nôtre : mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas sur tous les autres d’autres formes de vie possibles. Les procédés chimiques peuvent être maintenus sans oxygène, et il est encore question de savoir si les processus chimiques sont absolument nécessaires pour la subsistance des êtres organisés. Mon idée est que le développement de la vie doit conduire à des formes d’existence qui seront possibles sans la nourriture et qui ne seront pas entravés par les restrictions qui en découlent. Pourquoi un être vivant ne devrait pas être en mesure d’obtenir toute l’énergie dont il a besoin pour l’exercice de ses fonctions vitales dans l’environnement, plutôt que par la consommation de nourriture suivi d’un processus compliqué de combinaisons chimiques pour sa transformation en énergie pour le maintien de la vie ?

S’il y avait ces êtres sur l’une de ces planètes nous ne saurions presque rien à leur sujet. Il n’est pas nécessaire d’aller si loin dans nos hypothèses, car nous pouvons facilement concevoir que, dans la même mesure que l’atmosphère diminue en densité, l’humidité disparaît et la planète se fige, la vie organique pourrait également subir des modifications correspondantes, conduisant finalement à des formes qui, selon nos idées actuelles de la vie, sont impossibles. Je vais facilement admettre, bien sûr, que si il devait y avoir une catastrophe soudaine tous les processus de la vie pourraient être arrêtés ; mais si le changement, même conséquent, est progressif, et occupe les âges, de sorte que les résultats finaux puissent être intelligemment prévu, je ne peux que penser que les êtres de raisonnement trouveront toujours des moyens d’existence. Ils s’adapteront à leur environnement en constante évolution. Donc, je pense tout à fait possible que, dans une planète gelée, comme notre Lune est censé l’être, des êtres intelligents peuvent encore habiter dans son intérieur, sinon sur sa surface.

SIGNALEMENT À 100 000 000 MILES !

Ensuite, il est soutenu qu’il est au-delà de la capacité et de l’ingéniosité humaine de transmettre des signaux à des distances presque inconcevable de cinquante millions ou cent million de miles. Autrefois cela aurait pu être un argument valable. Il ne l’est pas actuellement. La plupart de ceux qui sont enthousiastes sur le sujet de la communication interplanétaire ont reposé leur foi en les ondes de lumière comme étant le meilleur moyen de rendre possible cette communication. Certes, les ondes de lumière, en raison de l’extrême rapidité de leur succession, peuvent pénétrer l’espace plus facilement que les ondes moins rapides, mais une simple considération montre que par leur biais un échange de signaux entre cette terre et ses compagnons dans le système solaire est, au moins pour le moment, impossible. A titre d’illustration, supposons que un mile carré de la surface de la terre – la plus petite zone qui pourrait éventuellement être à la portée de la meilleure vision télescopique d’autres mondes – a été couverte avec des lampes à incandescence, assemblées ensemble étroitement de manière à former, lorsqu’elles sont allumées, un tapis continue de lumière. Il nécessitera pas moins de cent millions de chevaux pour allumer cette étendu, et cela est plusieurs fois la quantité d’énergie motrice actuellement au service de l’homme à travers le monde.

Transmiting electricityMais avec les nouveaux moyens, proposées par moi-même, je peux facilement démontrer que, avec des dépenses ne dépassant pas deux mille chevaux, des signaux peuvent être transmis à une planète comme Mars avec autant d’exactitude et de certitude que nous envoyons à présent des messages par fil de New York à Philadelphie. Ces moyens sont le résultat de longues expériences et de l’amélioration progressive.

Il y a une dizaine d’années, j’ai dévoilé le fait que pour transmettre des courants électriques à une distance, il n’était pas du tout nécessaire d’employer un fil de retour, mais que toute quantité d’énergie pourrait être transmis en utilisant un seul fil. J’ai illustré ce principe par de nombreuses expériences, qui, à cette époque, ont excité considérablement l’attention parmi les hommes scientifiques.

Ceci étant pratiquement démontré, ma prochaine étape était d’utiliser la terre elle-même comme moyen conducteur des courants, supprimant ainsi les fils et tout autre conducteur artificiel. Donc, je fus conduit au développement d’un système de transmission d’énergie et de la télégraphie sans l’utilisation de fils, que je décrivais en 1893.

Les difficultés que je rencontrais dans la transmission des courants à travers la terre ont été très grandes au départ. A cette époque, je possédais seulement un appareil ordinaire, ce qui m’a semblé être inefficace, et j’ai concentré mon attention immédiatement sur la perfection des machines à cette destination particulière.

Ce travail a consommé un certain nombre d’années, mais j’ai enfin vaincu toutes les difficultés et a réussi à produire une machine qui, pour expliquer son fonctionnement dans un langage simple, ressemblait à une pompe dans son action, puisant l’électricité de la terre et la reconduisant de nouveau en elle même à un taux élevé, créant ainsi des ondulations ou des perturbations qui, répandant à travers la terre tel que par un fil, ont pu être détectés à de grandes distances par des circuits de réception finement ajustés. De cette manière, je pouvais transmettre à distance, non seulement des effets faibles pour les fins de signalisation, mais des quantités considérables d’énergie, et mes découvertes ultérieures m’ont convaincu que je vais finalement réussir à transmettre l’énergie sans fil, à des fins industrielles, avec une grande économie, et à toutes distances.

EXPÉRIENCES EN COLORADO

Pour développer d’avantage mes inventions, je suis allé au Colorado où je continuais mes investigations à ce sujet parmi d’autres, dont l’un en particulier que je considère maintenant encore plus important que la transmission d’énergie sans fil.

J’ai construit un laboratoire proche de Pike’s Peak. L’air pur des montagnes du Colorado a permis les conditions qui se sont avérés extrêmement favorable pour mes expériences, et les résultats ont été gratifiant pour moi. J’ai trouvé que je pouvais non seulement accomplir plus de travail, physiquement et mentalement, qu’à New York, mais que les effets électriques et les changements ont été plus facilement et distinctement perceptible. Il y a quelques années il était pratiquement impossible de produire des étincelles électriques vingt ou trente pieds de long ; mais j’en produisais de plus d’une centaine de pieds de longueur, et ce sans difficulté.

Les taux de mouvement électrique impliqués dans des appareils de forte induction avaient mesuré seulement quelques centaines de chevaux, et j’ai produit des mouvements électriques d’un taux de 110 000 chevaux. Avant cela, des pressions électriques insignifiantes ont été obtenus, tandis que je suis arrivé à cinquante millions de volts.

Les photos ci-après avec leurs titres descriptifs, prises pour un article que j’ai écrit pour le « Century Magazine », donnent une idée des résultats que j’ai pu obtenir dans les directions indiquées. De nombreuses personnes dans ma profession les ont vu, et ont demandé ce que je suis en train de faire. Mais le temps n’est pas loin maintenant, quand les résultats concrets de mes travaux seront placés devant le monde et leur influence se fera sentir de partout. Une des conséquences immédiates sera la transmission de messages sans fil, sur terre ou sur mer, à une distance immense. Je l’ai déjà démontré, par des essais cruciaux, la praticabilité de la signalisation par mon système de l’un à un autre point du globe, peu importe la distance, et bientôt je convertirai les mécréants.

J’ai toutes les raisons de me féliciter car, tout au long de ces expériences dont beaucoup étaient extrêmement délicates et dangereuses, ni moi ni aucun de mes assistants n’a été blessé. Lorsque vous travaillez avec ces oscillations électriques puissantes, des phénomènes les plus extraordinaires ont parfois lieu. Grâce aux interférences des oscillations, de véritables boules de feu sont susceptibles de jaillir à une grande distance, et si quelqu’un était dans ou à proximité de leurs chemins, il serait détruit instantanément. Une machine telle que j’utilisai pourrait facilement tuer, en un instant, trois cent mille personnes. Je remarquai que la pression sur mes assistants se faisait ressentir, et certains d’entre eux n’ont pas pu supporter la tension extrême des nerfs. Mais ces périls sont maintenant entièrement surmontés, et le fonctionnement d’un tel appareil, si puissant, ne comporte aucun risque que ce soit.

Essentials partsTandis que j’améliorais mes machines pour la production de mesures électriques intenses, je perfectionnais aussi les moyens d’observer des effets faibles. Un des résultats les plus intéressants, et aussi d’une grande importance pratique, a été le développement de certains instruments pour indiquer à une distance de plusieurs centaines de miles l’approche d’une tempête, sa direction, la vitesse et la distance parcourue. Ces appareils sont susceptibles d’être utiles pour l’avenir des observations météorologiques et la topographie, et se prêteront particulièrement aux utilisations navales.

Pendant ce travail, pour la première fois, je découvrais ces effets mystérieux qui ont suscité un tel intérêt inhabituel. J’avais mis au point l’appareil dont on parle jusqu’ici qui me permet de sentir à partir de mon laboratoire dans les montagnes du Colorado, le pouls de la planète, pour ainsi dire, en notant chaque changement électrique qui a eu lieu dans un rayon de 1100 miles.

TERRIFIÉ PAR LE SUCCÈS

Je ne pourrai jamais oublier les premières sensations que je vécus quand je me rendis compte d’avoir peut-être observé quelque chose avec des conséquences incalculables pour l’humanité.

Je sentais comme si j’assistai à la naissance d’une nouvelle connaissance ou à la révélation d’une grande vérité. Même maintenant, à certains moments, je peux me rappeler clairement de l’incident et voir mon appareil comme si elle était réellement devant moi. Mes premières observations me terrifiaient absolument, car il y avait quelque chose de mystérieux, pour ne pas dire surnaturel, et je fus seul dans mon laboratoire la nuit ; mais à ce moment l’idée de ces perturbations en tant que signaux contrôlés intelligemment ne se présentait pas encore à moi.

Les changements que je notais se déroulaient périodiquement, et avec une telle clarté de nombre et d’ordre qu’ils n’étaient pas attribuables à une cause à ma connaissance. Je connaissais, bien sûr, les perturbations électriques qui sont produites par le soleil, Aurore Boréales et les courants de terre, et je suis aussi sûr que je pourrais l’être que ces variations n’étaient dues à aucune de ces causes.

La nature de mes expériences excluait la possibilité des changements en cours de production par des perturbations atmosphériques, comme cela a été affirmé par certains. Il ne fut qu’après quelques temps, que la pensée apparaît dans mon esprit que ces perturbations que j’ai observées pourraient être dus à un contrôle intelligent.

Bien que je ne pouvais pas déchiffrer leur sens, il était impossible pour moi de penser à elles comme ayant été entièrement accidentelles. Mon sentiment grandissant fut que j’avais été le premier à entendre le message d’accueil d’une planète à l’autre.

Un but était derrière ces signaux électriques ; et ce fut avec cette conviction que je l’ai annoncé à la Croix-Rouge, quand ils m’ont demandé d’indiquer l’une des grandes réalisations possibles des cent prochaines années, que ce serait probablement la confirmation et l’interprétation de ce défi planétaire pour nous.

Depuis mon retour à New York, du travail plus urgent a consommé toute mon attention ; mais je n’ai jamais cessé de penser à ces expériences et observations faites dans le Colorado. Je m’efforce constamment d’améliorer et de perfectionner mon appareil, et dès que possible, je reprendrai à nouveau le fil de mes enquêtes là où j’ai été forcé de le déposer pour un temps.

COMMUNICATION AVEC LES MARTIENS

Au stade actuel des progrès, il n’y aurait pas d’obstacle insurmontable dans la construction d’une machine capable de transmettre un message à destination de Mars, ni de grandes difficultés dans l’enregistrement de signaux qui nous seraient transmis par les habitants de cette planète, s’ils étaient électriciens qualifiés.

Une fois la communication, même la plus basique, établie, comme par un simple échange de numéros, les progrès vers la communication plus intelligible serait rapide. La certitude absolue quant à la réception et l’échange de messages serait atteinte dès que nous pourrions répondre par le nombre « quatre », disons, en réponse au signal « un, deux, trois. » Les Martiens, ou les habitants de quelconque planète nous ayant donné signe, comprendrais de suite que nous aurions pris leur message à travers l’immensité de l’espace et aurions renvoyé une réponse. Transmettre une connaissance de forme par de tels moyens, bien que très difficile, n’est pas impossible, et j’ai déjà trouvé un moyen de le faire.

Quel énorme retentissement cela aurait-il dans le monde ! Dans combien de temps viendra-t-il ? Car, le fait qu’il sera accompli un jour ou l’autre, doit être clair pour tout être réfléchie.

Une chose est sûre, au moins, la science a progressée. Mais j’espère qu’il sera également démontré bientôt que dans mes expériences dans l’Ouest, je n’ai pas seulement eu une vision, mais j’ai aperçu une grande et profonde vérité.

 

 

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